La maladie d'Alzheimer est multiparamétrique. De nombreux facteurs interviennent dont le poids est différent selon d'autres facteurs.
Ceci permet de dire dans les cercles scientifiques autorisés un peu n'importe quoi. Car il n'y a pas de vérité absolue, et peu d'espoir de prédire la maladie et son évolution, sauf s'il y a des mutations sur certains gènes, maintenant bien connus.
La première idée que nous proposons ici est basée sur du bon sens, et nous l'illustrons avec un exemple.
Imaginez un diagnostic pour une voiture dont le moteur ne fonctionne pas bien, ce qui n'inaugure rien de bon pour la suite. Vous pourrez identifier la panne le moteur arrété. Vous pourrez analyser l'huile (prise de sang, ponction lombaire) et vous aurez des indices. Mais rien de sérieux pour détecter ce qui ne va pas.
Par contre vous faites tourner le moteur et à l'oreille (celle du spécialiste neurologue) vous détecterez des éléments évocateurs : appuyez sur la pédale doucement pour faire vrombir le teste des 5 mots de Dubois (test psychométrique) et vous verrez tout de suite si le moteur est un peu grippé.
Vous pourrez appuyer sur la pédale d'accélérateur un peu plus pour peaufiner votre investigation (il y a une multitude de tests psychométriques, mais pour le neurologue moins de 5 suffiront).
Pour aller plus loin pour préciser la défaillance légère du moteur, vous pouvez faire un scanner du moteur, précisément une IRM.
Ce test est maintenant disponible, peu contraignant. Et vous regarderez une pièce mécanique précise du moteur, l'hippocampe.
Si ce dernier est atrophié sérieusement vous aurez une suspicion forte d'un Alzheimer qui s'installe.
Pour l'évolution, vous ne pourrez rien dire d'absolu, car les facteurs de risque, en particulier l'âge et l'état de vos vaisseaux interviendront.
Que faire ?
En attendant notre médicament AZP2006, un autre est disponible dès maintenant, lié à la qualité de l'environnement de la personne possiblement affectée. Il faut ménager le moteur, et essentiellement éviter toutes les formes de stress.